Eséka : avec engagement

Une commémoration dans l'allégresse. A la maison du parti d'Eséka jeudi dernier, les militants sont venus massivement réaffirmer leur fierté d'appartenir au Rassemblement démocratique du peuple camerounais, certains comme S.M Martin Matip, chef supérieur d’Eséka, dès la création le 24 mars 1985. A cette occasion, ils se sont rappelés les acquis réalisés grâce à l'empreinte du parti tels que la paix et la prospérité ou les indices de développement du Cameroun qui ont été multipliés par dix en 37 ans. A titre d'exemple, le nombre de lycées du département, passé d’un seul à 22, a indiqué le représentant des élites extérieures, Henri Peha. Une raison parmi tant d’autres de se mobiliser davantage derrière le président national du parti et ses actions.
La joie n'a cependant pas fait oublier les enjeux dans une circonscription où le RDPC n'est pas en grande forme. Dans l'esprit du thème de la célébration, les militants se sont engagés à donner à Eséka la chance de connaître une autre gestion pour son essor. D'ailleurs, le ministre des Affaires sociales, Pauline Irène Nguene, a prescrit l'élaboration d'un diagnostic des problèmes

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