Journée internationale de l’écrivain africain : un visiteur nommé Henri Djombo

Dans la bibliographie de Henri Djombo, le Cameroun occupe une place particulière. « Je suis heureux d’être au Cameroun. D’ailleurs, une partie de mes livres a été écrite à Yaoundé ou à Douala. Il s’agit en l’occurrence, des romans « La traversée (2005) », « Le mort vivant (2000) » et « Lumière des temps perdus (2002) ». C’est aussi des enfants du Cameroun », a précisé le député congolais mardi dernier à Yaoundé. Une évocation délivrée au cours de l’audience que lui a accordée Bidoung Mkpatt, ministre des Arts et de la Culture (Minac), en présence de Daniel Ngassaki, ambassadeur du Congo au Cameroun.
L’ancien ministre congolais de l’Agriculture a souligné sa reconnaissance d’avoir été reçu en ce jour où la communauté internationale célèbre l’écrivain africain. « Je crois qu’à travers ma personne, on honore l’écrivain africain en général et les lettres congolaises en particulier », dira-t-il après la minute de silence observée en l’honneur de l’écrivain et ancien homme d’Etat, Henri Lopès, décédé le 2 novembre dernier. 
Dans une approche plus globale, le ministre et son hôte ont abordé quelques aspects relatifs à la coopération culturelle et artistique entre le Cameroun et le Congo, avec un élargissement à la sous-région. C’est dans cette logique que les probl...