111e session du Conseil international du cacao : les plants… d’avenir

Les sujets relatifs à la viabilité de la filière ont meublé les travaux de la commission consultative de l’instance tenus hier en prélude à l’ouverture officielle de l’évènement ce jour.

Yaoundé accueille depuis hier et jusqu’à jeudi prochain, la 111e session du Conseil international du cacao (Icco) et de ses organes subsidiaires. Première étape de ce grand rendez-vous international, les travaux de la commission consultative qui se sont tenus hier. Les participants issus des 52 pays producteurs parmi lesquels le Nigeria, la Côte d’Ivoire, la Belgique, etc. étaient réunis en présentiel et en ligne pour se pencher sur les sujets saillants qui menacent la viabilité de la filière à terme, notamment ceux relatifs à l’économie cacaoyère. Les travaux tenus à huis clos étaient placés sous la supervision de Michèle Arrion, directeur exécutif de l’Icco
La commission consultative constituée des acteurs de la chaîne de valeur du cacao et des structures techniques des Etats membres, est l’organe chargé de réaliser des analyses et de faire des propositions à l’Icco. Selon Aly Touré, représentant permanent de la Côte d'Ivoire auprès des organisations internationales des produits de base, les experts de la commission ont tablé sur la situation des marchés, la répartition des prix et la promotion de la consommation. Ceci dans le but de concourir à une économie mondiale durable pour la filière.
Créé en 1973, l’Icco a pour mission de promouvoir un marché mondial du cacao équilibré, durable et inclusif. Depuis près de cinq décennies, l’instance joue un rôle central dans la gouvernance de la filière cacao en rassemblant les pays producteurs et consommateurs autour des objectifs relatifs à la stabilisation des marchés et à la protection des intérêts des producteurs. Les assises de Yaoundé interviennent dans un contexte marqué par de n...

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