Une formation d’experts des pays du bassin du Lac Tchad sur la question se tient à l’Ecole de Faune de Garoua depuis lundi 9 septembre 2019
Cela peut paraître relever de la logique, voire de l’évidence. Face à l’évolution et la variété des menaces qui pèsent sur l’écosystème, l’utilisation des nouvelles technologies dans le dispositif de détection et de riposte est de plus en plus primordiale. Au-delà de compenser des ressources humaines et logistiques souvent insuffisantes, elles améliorent considérablement les capacités d’intervention de ceux qui ont en charge de la protection de la biodiversité. Et c’est pour donner une substance plus concrète à ce postulat qu’une trentaine d’experts, issus de cinq pays du Bassin du Lac Tchad sont réunis depuis lundi à l’Ecole de Faune de Garoua. Cette formation, dont la cérémonie d’ouverture a été présidée par le gouverneur de la région du Nord, est organisée par l’Unesco dans le cadre de son programme « Biosphère et patrimoine mondial » dont l’une des branches cible la préservation du Bassin du lac Tchad.
Pour la représentante de l’Unesco venue de Paris, l’idée est d’implanter un système de gestion des ressources naturelles commun aux cinq pays du Bassin. Plus que la dimension technologique, l’échange des expériences entre les experts de la faune et de la flore de ces cinq pays est une dimension importante de la rencontre. Ces derniers, rencontrant souvent « des problèmes similaires, sur des sites similaires ». Partant de ces échanges, on établira...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires