Télévision : l’effet « Bachelor »
- Par Elise ZIEMINE NGOUMOU
- 03 nov. 2022 11:01
- 0 Likes
Depuis le 15 octobre dernier, cette téléréalité diffusée sur Canal + Pop qui présente 20 dames en compétition pour l’amour d’un prétendant unique, fait couler beaucoup d’encre et de salive.
Vingt femmes, belles, séduisantes, venues de divers pays d’Afrique francophone. Elles sont pour la circonstance réunies dans un château pour séduire un homme. Un étalon à la peau noire et au sourire ravageur. Joël Williams est un gentleman ivoirien, entrepreneur averti et romantique. Il a connu des femmes dans sa vie. Il a un enfant de six ans. Maintenant Joël Williams cherche l’amour de sa vie. Celle-là qui pourra porter son nom. Au fil de l’émission et de rendez-vous en rendez-vous, les liens se tissent entre lui et certaines candidates. Et au terme du programme, l’heureuse élue recevra la bague tant recherchée du premier « Bachelor africain ».
Voilà le concept de l’émission « The Bachelor ». La téléréalité lancée aux Etats-Unis en 2002 et adaptée dans d’autres pays, débarque en Afrique. L’influenceuse ivoirienne Emma Lohoues est aux commandes de l’émission diffusée tous les samedis autour de 20h30, sur Canal+Pop. Cinq candidates ont été éliminées à la première diffusion le 15 octobre dernier. Trois autres ont été sorties de la compétition le samedi suivant. Après des activités de groupe avec celui qu’elles convoitent toutes, un tête-à-tête permet à Williams de faire la connaissance de chacune des candidates. Ce qui rend l’affaire intéressante pour le téléspectateur. Et le 22 octobre dernier, au cours d’un rendez-vous avec une des candidates, l’homme a enfin dévoilé son style de femme. « Pas trop petite, pas trop forte, pas trop ronde. Le juste milieu de tout. Une femme qui n’est pas seulement belle physiquement. Mais qui a la capacité de communiquer des émotions », a-t-il fait savoir. Mais il semble en face de dames aux comportements et à l’apparence extravagants. Pour ressortir ce qu’il recherche, les candidates sont soumises à différents jeux et la gagnante bénéficie d’un huis clos avec le « Bachelor ». Ici, ils sont seuls et tout est possible. Mais pour le moment, l’affaire s’est limitée aux causeries. Occasion donnée à la femme de « se vendre ». « Je suis un peu déçu de ce ren...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires