Capital humain : main d’œuvre garantie

Selon le code minier en général, et la convention minière qui lie l’Etat à chaque entreprise détentrice d’un permis d’exploitation minière, il y a des quotas à respecter en ce qui concerne l’utilisation de la main d’œuvre locale dans les différents projets. On parle ainsi de la présence, à plus de 90% de la main d’œuvre locale non qualifiée, environ 50% pour la main d’œuvre intermédiaire et un peu moins pour les cadres. C’est dire par exemple que sur le site du projet Kribi-Lobé, les Camerounais devraient être bien visibles sur les 600 employés prévus dans la phase préparatoire. D’ailleurs au pilotage des engins déjà déployés sur site pour déblayer le terrain, des nationaux sont aux commandes. 
Chez G-Stones, il n’est pas seulement question de recruter, mais aussi de former. En ce moment sur le site du projet où se déploie actuellement l’entreprise camerounaise, on ne voit que des travailleurs nationaux à l’œuvre, soit 200 personnes au total, et le chiffre ira en grandissant au fur et à mesure que l’on avancera dans la réalisation du projet, pour atteindre les 3500 emplois environ. « C’est la politique du Directeur général du groupe Bocom dont G-Stones est une branche. Il est question d’employer en grande majorité d...

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