Lutte contre les incendies et sinistres : le centre de secours de Bassa arrive !
- Par Rita DIBA
- 20 févr. 2024 16:01
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Le ministre de la Défense, Joseph Beti Assomo, a procédé à la pose de la première pierre de l’infrastructure ce 19 février 2024 à Douala.
La ville de Douala va se doter d’un troisième centre de secours du corps national des sapeurs-pompiers, après ceux de Ngodi et Bonabéri. En effet, Joseph Béti Assomo, le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, était dans la cité économique ce 19 février 2024 afin de procéder à la signature d’une convention tripartite et à la pose de la première pierre du centre de secours de Bassa, dans la zone industrielle. Cette infrastructure, créée par arrêté N°0323/A/MINDEF/01 du 2 avril 2004, est destinée à la prévention et la gestion d'éventuels sinistres dans la ZI de Douala-Bassa et les quartiers environnants. La convention tripartite regroupe le ministère de la Défense, la Magzi (Mission d'aménagement et de gestion des zones industrielles) et Prometal Groupe, donateur dudit centre. Un investissement réalisé dans le cadre de la responsabilité sociétale des entreprises (Rse), estimé à près d’un milliard de F. Pour parapher le partenariat aux côtés du Mindef, Prometal était représenté par son Président directeur général, Hayssam El Jammal, et la Magzi par son directeur général, Christol Georges Manon. Au terme de la construction et de l’équipement du centre de secours de Douala-Bassa, la structure sera rétrocédée au ministère de la Défense.
Une structure symbole d’une double volonté du donateur, comme l’explique Hayssam El Jammal : montrer la reconnaissance du leader de la métallurgie-sidérurgie pour l’intervention et le soutien des pouvoirs publics à la suite du grave incendie subi par l’entreprise en janvier 2023 ; accompagner l’Etat dans ses actions d’intérêt public, parce que « l’Etat ne peut pas tout faire ». En plus de cet important sinistre de l’aciérie, Christol Georges Manon a ajouté celui d’une autre unité de production, dans la zone industrielle de Bonabéri cette fois-ci, toujours l’année dernière. D’où l’urgence et le bie...
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