Actes de violence de Bruxelles : la jeunesse camerounaise condamne

Vendredi dernier, plusieurs associations et mouvements jeunes locaux et de la diaspora sont allés exprimer leur indignation et soutien au ministre Mouna Foutsou.

Pancartes et portraits de certains compatriotes de la diaspora barrés au rouge en main, près de 200 jeunes ont marché, en chantant à haute voix, l’hymne national le vendredi 7 mars dernier, du monument Charles Atangana au ministère de la Jeunesse et de l’Education civique. Ces jeunes leaders patriotes affiliés à plusieurs mouvements et associations de jeunes étaient réunis autour du Conseil national de la Jeunesse (CNJC), du Conseil national de l’éducation populaire, du Conseil national des appelés du service civique du Cameroun, du Haut conseil des camerounais de l’extérieur (HCCE), etc. Ainsi, l’on a pu reconnaître dans les rangs, Fadimatou Iyawa, présidente du CNJC, Stève Fah, influenceur et président de « Je suis patriote, le Cameroun d’abord », et bien d’autres. Ce déploiement, selon les initiateurs, consiste d’un côté, à condamner les actes de violence et de barbarie aux allures terroristes perpétrés par certains compatriotes de la diaspora sur le ministre Mounouna Foutsou et l’ambassadeur du Cameroun en Belgique, le 28 février et le 3 mars derniers à Bruxelles ; et de l’autre côté, à promouvoir la culture de la paix et du dialogue dans la résolution des différends. » 
Accueillis à l’entrée du ministère par le secrétaire général, une vingtaine de ces leaders ont ensuite été reçus à la salle des conférences par le ministre lui-même. Déclinant l’objet de leur visite, Fadimatou Iyawa a lu la déclaration rédigée par des jeunes. Dans ce message, ils fustigent « avec la dernière énergie, les activités d’endoctrinement, de criminalité menées par des groupes isolés qui visent à ternir l’image du pays et à freiner son él...

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