Options : de la variété et des coûts conséquents

Les opportunités d’aller à l’international dans le cadre des études sont de plus en plus nombreuses. Les filières les plus courues sont celles des séries scientifiques. Les écoles d’ingénierie, de commerce international, de sciences biomédicales et bien d’autres formations spécialisées attirent davantage les jeunes bacheliers. Si les postulants d’expression française se ruent vers les pays francophones comme la France et la Suisse pour ce qui est de l’Europe, et le Sénégal ou la Côte d’Ivoire ici en Afrique, ceux d’expression anglaise préfèrent plutôt les pays comme l’Afrique du Sud, le Nigeria, le Ghana ou le Canada. La Turquie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis aussi pour ne citer que ceux-ci.
A côté de ceux qui partent grâce à des bourses d’études, il y en a beaucoup qui vont étudier à l’étranger sur initiative privée. Ce qui entraîne des coûts conséquents. Notamment les frais de scolarité en fonction de la filière choisie, les frais de voyage, de logement, etc. Les frais de scolarité varient considérablement d’un pays à l’autre et d’une institution à l’autre. Aux États-Unis, au Canada ou au Royaume-Uni par exemple, certains sites guides indiquent que les frais sont plus élevés que dans d’autres pays. Les programmes du Premier cycle universitaire qui aboutissent à la Licence, équivalent du bachelor degree, peuvent coûter entre 5 000 euros (plus de 3 millions de F) et 50 000 euros (plus de 32 millions de F) par an, en fonction de la réputation de l’université, du programme d’études et du statut de l’étudiant (en tant que résident ou international). 
Les étudiants doivent également prévoir des frais administratifs, y compris les frais de visa, les frais d’inscription à l’université, les assurances obligatoires, les frais de santé et éventuellement des tests de langue comme le TOEFL (pour les étudiants aux USA) ou l’IELTS (au Royaume-Uni). Ces coûts varient en fonction du pays et peuvent représ...