Etudes à l’étranger : des offres alléchantes mais…
- Par Marie Christine
- 08 août 2025 10:34
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Au sortir du secondaire, les nouveaux bacheliers et leurs familles sont assaillis par une multitude de propositions, qui cachent parfois des pièges.
Panneaux publicitaires, prospectus et autres sorties dans l’espace public, (sites Internet, mails, SMS), caractérisent en ce moment, l’action de certains établissements spécialisés et agences porteurs d’offres d’études à l’étranger. Après les résultats du baccalauréat ou du GCE (General Certicate of Education), ces structures proposent leurs services pour aider les lauréats à poursuivre leurs études supérieures à l’international. Elles présentent des programmes d’études dans des pays comme l’Australie, les Etats-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, la Nouvelle Zélande, l’Allemagne, la France, l’Espagne, la Russie, l’Ukraine. Et des services variés comme la sélection d’établissements, la constitution du dossier de candidature, l’aide à l’obtention de visa, la réservation de logement et de billet d’avion, etc. C’est par exemple ce SMS provenant d’un expéditeur du nom de AKADEMIKA C, que plusieurs utilisateurs de téléphonie mobile reçoivent. Il est écrit : « Bonsoir cher parent, votre enfant peut encore étudier en France, Canada, Chine, Russie et Sénégal. Whatsapp : Https://urlz.fr/uHki ». L’expéditeur indique même un contact sur lequel on pourrait le joindre. Ou encore ces offres qui pullulent sur la toile : « Etudier à Dubaï pour votre projet d’étude à Dubaï, SoluEtude vous accompagne à chaque étape de votre projet… » Des propositions alléchantes parfois à moindre coût (1.500 000 de F, voire 2 000 000 de F) et qui attirent forcément l’attention.
Dans ce melting-pot d’offres, les « occidentocentristes » se lancent parfois aveuglement dans la quête de formation porteuses. Les uns et les autres s’engagent alors sans une garantie ferme de résultats positifs. Et pourtant, dans les offres qui foisonnent, il y a beaucoup de non-dits, des zones d’ombre qui exposent à une désillusion. Malgré cela, on voit des familles qui insistent pour faire partir leur progéniture malgré les nombreux écueils. On se voile les yeux, l’objectif étant de partir d’abord, quitte à aller se débrouiller plus tard. Et pourtant, p...
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