Protection de l’enfance: la Commission nationale renforce sa stratégie

Le ministre des Affaires sociales, Pauline Irène Nguéné a présidé la première session de l’an 2018 le 9 mai à Yaoundé.
Il y a quelques mois, un enfant est décédé dans la région du Sud après une bastonnade infligée par son père, pour avoir dépensé les frais de dossier d’examen.
A Douala, un autre enfant s’est donné la mort parce que sa grande-sœur avait confisqué son téléphone portable. Récemment, la côte d’alerte en matière d’abus sexuels des enfants a grimpé de manière inquiétante.
C’est pour évaluer les effets que de tels actes ont sur l’épanouissement de l’enfance camerounaise, que la commission nationale dédiée à sa protection a tenu sa première session mercredi dernier au Cercle municipal à Yaoundé. Une rencontre présidée par Pauline Irène Nguéné, ministre des Affaires sociales (Minas).
La session a permis de dresser un état des lieux du dispositif judiciaire existant en matière de protection des enfants contre les violences, les abus et l’exploitation. Il était également question de sensibiliser les acteurs de la chaine de protection de l’enfant sur l’ampleur et les conséquences des violences sexuelles sur les mineurs.
Face à la recrudescence de la violence et des abus sur les enfants au Cameroun, l’urgence de passer à l’action s’impose à t...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires