L’Etat promeut de nouvelles essences pour faire face à la pénurie de certains bois et fermeture d’entreprises.
Le secteur forestier connait quelques perturbations dernièrement. C’est que certaines contraintes obligent les exploitants forestiers à ralentir leurs activités, pire encore à fermer boutique. Il s’agit de l’indisponibilité de la ressource pour certaines entreprises. Le fait est que le bois s’épuise dans certains titres de concessions d’exploitation.
Les dernières attributions des unités forestières d’aménagement ont été délivrées dans les zones de Ngoyla-Mintom en 2010. Par conséquent, cette zone est devenue une zone de prédilection forestière. Résultat le nombre des UFA attribués est devenu statique depuis quelques années.
Il y a également les contraintes écologiques notamment au niveau du marché international obligeant les exploitants au respect des normes et qualité. Autre problème, de plus en plus de nationaux (possédant pourtant 50% de titre) préfèrent placer leurs obligations sous-traitance au bénéfice des asiatiques.
Pour inverser la tendance, le ministère des Forêts et de la Faune (Minfof) préconise quelques solutions. L’une d’elle consiste en la réattribution de ventes de coupes aux opérateurs économiques. Il faut dire qu’en ce moment, il en existe 131 et près de 90 sont opérationnelles tandis qu’une quarantaine ne fonctionnent pas.
Par ailleurs, sur les 300 essences de bois recensé...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires