Formation professionnelle : comment optimiser la méthode chinoise

« L’initiative Route et Ceinture, regard sur les enjeux et les perspectives de la formation chinoise : cas de l’Afrique subsaharienne ». C’est le thème de la conférence débat organisée il y a une semaine à Yaoundé, en marge de la célébration de la 74e édition de la fête nationale de la République populaire de Chine. Les travaux ouverts par le représentant du ministre des Relations extérieures, Oumar Moussa, directeur du Centre d’analyses stratégiques par intérim ont connu la participation du représentant du ministère de l’Emploi et du directeur adjoint de l’Institut des Relations internationales du Cameroun.
 Dans son mot de circonstance, Hermann Mefire, le promoteur de l’évènement, par ailleurs directeur de publication du magazine Actu Chine-Cameroun, a relevé que l’objectif de ce débat scientifique était de dénicher les idées et les orientations au profit de jeunes Camerounais en quête d’opportunités. « Nous avons pensé qu’avec l’initiative Route et Ceinture qui offre autant d’opportunités d’investissements chinois en Afrique, le continent devrait mieux se préparer pour tirer son épingle du jeu », a précisé Hermann Mefire. Pour ce faire, ce chef d’entreprise, fruit du système chinois, donne quelques stratégies : « Il faut déjà mettre l’accent sur la formation, évaluer les types de formations offertes par la Chine depuis des années, voir comment elles se sont déroulées concrètement et ensuite savoir ce que sont devenus les étudiants camerounais formés en Chine. » 
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